Nous lançons avec l’ADEME une enquête sur les pratiques de chauffage au bois auprès de vous, nos administrés. Elle s’inscrit dans le cadre d’une étude de préfiguration d’un Fonds air-bois sur le territoire.
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En 2019, la combustion du bois était la principale source d’émission de particules fines du secteur résidentiel sur le territoire métropolitain (94%). Cette pollution, principalement émise par des cheminées à foyer ouvert et des appareils anciens non-performants, n’est pas une fatalité.
Selon l’ADEME, le rendement d’une cheminée ouverte est en moyenne de 15% contre 75 à 90% pour les poêles à bûches et supérieur à 85% pour les poêles à granulés. Avec une combustion optimisée, les émissions de polluants sont réduites. Un poêle performant émet d’ailleurs, selon l’ADEME, jusqu’à 10 fois moins de particules fines qu’un vieux poêle.
Forts de ce constat nous souhaitons, avec l’aide de l’ADEME, connaître les pratiques de chauffage au bois sur le territoire afin d’étudier la pertinence de mettre en place une aide financière destinée aux particuliers.
Cette aide, appelée Fonds air-bois, aurait pour objectif d’inciter au renouvellement des appareils de chauffage au bois.
L’analyse des résultats permettra ensuite de dimensionner cette éventuelle aide, si elle s’avère pertinente.
Aucune démarche commerciale ne sera proposée via cette enquête.
Fonds air-bois